casablanca-annees-50
Passionnément Casablanca de nos années 50...
Plus de Magasins Modernes ni de Vox. |
C'est le prétexte à une confrontation de deux périodes - des années 50 à nos jours - illustrées de nombreuses cartes postales comparées à des photos récentes.
Bien sûr, il a été difficile de quitter une terre que l'on croyait sienne à jamais par le travail et la fierté de nos parents et de nos grands-parents mais, pour la paix de notre mémoire, le temps n'est-il pas venu de réconcilier nos regrets incandescents avec l'irréversible réalité?
Ces pages sont une fresque nostalgique et poétique d'une lointaine adolescence insoucieuse face aux discutables métamorphoses urbanistiques, sociales et hélas, parfois pseudo idéologiques, nées de l'émancipation d'un si beau pays qui ne renonce pas, malgré ses travers , à être accueillant.
Ce livre n'a pas vocation à satisfaire un grand public, mais à partager avec les amoureux de la terre natale des émotions en évoquant de simples moments de l'existence , mémorables et puisés à la source d'un passé qui n'entend jamais sombrer dans l'oubli.
Un premier tirage limité, auto-édité ( 180 pages, format 14x20 cm, 160 cartes postales et photos) est vendu par correspondance au prix de 25 euros port compris pour la France.
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Cher Monsieur TORJEMAN,
Mieux vaut tard que jamais . Enfin! Je donne suite à votre cadeau -Passionnément Casablanca- que j'ai reçu des mains de Patrick Arié lors de son passage à Montréal. Je tiens à vous remercier très sincèrement pour votre geste, votre dédicace :
-À Charles Dadoun,
Diaspora nécessaire au rappel d'un Passé,
Serti de Nostalgie et souvent ressassé
Judéo-Marocains, notre rare vertu
C'est de se retrouver sans s'être jamais vus.-
et de même je vous remercie d'avoir fait un travail de mémoire comme vous l'avez si bien écrit et décrit tout au long de votre volume.
Disons que j'ai mis du temps avant de vous répondre mais j'espère en être par vous excusé. Ce que j'ai trouvé superbe et magistral fut votre conclusion - votre Épilogue- pages167 à177 incluse, car votre Épilogue ramasse en 11 pages très exactement ce que nous avons éprouvés au cours d'une jeunesse dorée et surtout le regard qu'il nous faut avoir du MAROC d'aujourd'hui et de laisser certaines choses derrière nous sans pour autant devoir les oublier. Le dernier paragraphe de la page 173 et suivantes jusqu'à la p. 176 résume et ramassse en un tout ce qu'un chanteur dont le nom m'échappe (Sacha Distel je crois) avait chanté : -Il y a le Ciel , le Soleil et la Mer....-.
Bien amicalement et un grand merci
CHARLES DADOUN
Le 10/02/2011 à 16h20
Au fur et à mesure que je progresse dans la lecture de votre livre, je me revois à l'age où j'ai quitté Casablanca, en juillet 1962. La première carte postale m'a donné des frissons : l'immeuble où j'ai travaillé plus de 17 ans, il n'a pas changé. Ensuite pour certains lieux il me faut fouiller dans ma mémoire mais ça reviens.
Merci encore et je reviendrais sur le blogs. Voir si d'autre personne le visite.
Amitiés d'une Casablancaise qui a passé sa vie de sa naissance à 23 ans.
J'AI RETROUVÉ UN AMI COMMUN QUI EST VENU EN DÉCEMBRE 2010 ET M'A LASISSÉ EN GUISE DE CADEAU DE .... NOEL -PASSIONNÉMENT CASABLANCA-. JE TIENS À VOUS REMERCIER POUR NE PAS AVOIR OUBLIÉ UNE CERTAINE PARTIE DE NOTRE PASSÉ, DE NOTRE VIE. VOTRE LIVRE EST PASSIONNANT ET IL EST ILLUSTRÉ DE TELLE MANIÈRE QUE JE M'Y RETROUVE MALGRÉ LE NOUVEAU CASA OÙ JE NE SUIS JAMAIS RETOURNÉ....ET JE CROIS QUE C'EST PAR NOSTALGIE D'UN PASSÉ ESTOMPÉ À TOUT JAMAIS ET QUI NE VIT PLUS QUE DANS NOTRE MÉMOIRE. POUR CETTE RAISON JE N'Y AI PLUS JAMAIS REMIS LES PIEDS....AU RISQUE D'ÊTRE BLESSÉ. NON ! JE PRÉFÈRE GARDER L'IMAGE DU CASA DES PLANCHES, DU VOX MON PÈRE AVAIT SA BOUTIQUE DE TAILLEUR POUR HOMMES ET POUR FEMMES EN DIAGONALE ET EN LIGNE DROITE AVEC LE VOX. IL SE TROUVAIT PRÈS DE L'APPOLO . VOUS ME RAPPELEZ DES SOUVENIRS D'ENFANCE ET DU JEUNE ADULTE QUE J'AI ÉTÉ IL FUT UN TEMPS. MAIS VOTRE LIVRE EST LÀ POUR ME TENIR COMPAGNIE ET ME RAPPELER LES BONS MOMENTS D'INSOUCIANCE DU PASSÉ DANS CETTE BELLE VILLE QUI FUT LA NÔTRE ET JE PENSE AUSSI DE TOUS CEUX ET CELLES QUI ONT VÉCU CETTE ÉPOQUE. JE TENAIS À VOUS EN FÉLICITER TRÈS SINCÈREMENT.
Mon cher Lucien,
Je te connaissais doué mais à ce point là CHAPEAU
Quel talent, quel encyclopédie, quel cadeau.
J'ai avalé ton livre d'une seul traite, je peux te l'avouer qu'en lisant des mots comme - titcha, les planches, la kémia, le Lido, l'école du centre etc.… - J'ai eu quelques larmes.
Merci de ne pas avoir oublié nos jeunes années, notre ville et notre amitié.
Merci pour ce livre, je suis fier de t'avoir comme - Pote -.
Merci, merci et encore merci.
Ton ami, ton frère.
Guy
P.S. Tu me diras en aparté, j'en suis sure que d'écrire ces pages, ç a valait plus qu'une séance de Psy (à demander à LILO).
Casa avant , Casa après ...et au milieu les souvenirs !....